1772 et 1939
Ici la nature est laissée plus libre et sauvage, sans contrainte de symétrie. Ce sont les arbres rares et les bosquets bordés par des lignes courbes de buis qui charment les hôtes.
A l’ombre de tilleuls majestueux de plus de 250 ans d’âge, l’ambiance particulière est due à l’installation dans la première moitié du 20ème siècle des pierres tombales récupérées du cimetière de Mathod et qui appartenaient à la famille des habitants du Château de Mathod. Dont celles d’André et Virginia Robert, les arrières-arrières-grand-parents de la propriétaire actuelle.
Un hamac y trouve également tout naturellement sa place en été, bien à l’ombre des buis bicentenaires, ravissant son occupant par la fraîche brise et le gargouillis de la grande fontaine.